Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des allées battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une féminité vivait en retrait, à l’orée des dessein. Sa maison, bâtie de pierre et de visée noir, exhalait vivement une odeur d’herbes https://jolie-voyance47800.onzeblog.com/33609146/les-amours-de-l-avenir-et-de-la-voyance