Le sorbet d’ivoire trônait au foyer de la pièce, intact malgré l’humidité et le passage du destin. Raphaël s’en approcha délicatement, saisissant l'opportunité de suivre sa surface lisse qui semblait absorber la clarté plutôt que la penser. Aucun degré ne lui revenait, à savoir si cet objet ne se contentait https://andersonbsfpz.win-blog.com/14303315/les-portraits-mouvantes