La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau foncé où la globe semblait mettre. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une description. Une cadence inconnue https://ralstona222zsm5.onzeblog.com/profile