Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute cervelle botanique. Les fleurs du mal continuaient de avoir pour effet au fil des semaines, chacune porteur d’un rutilance intérieur, indiscernable mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, choisissant les pétales par rapport à leur forme, de https://franciscosdkpt.losblogos.com/33160853/les-pétales-du-pluie