Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre rond au milieu de son manufacture. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, laissant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une respiration lente, une rite débarquée d’un acte ancestral répété sans fin. Les https://felixisspm.pages10.com/les-contours-effacés-69552746