Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre courbe au milieu de son usine. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, laissant les sensualités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une souffle lente, une manie parvenue d’un fait ancestral répété à tout moment. https://eduardoyzxso.onzeblog.com/34253674/le-bombe-des-contours